Halloween – La Première Fois

Pour célébrer cette fête païenne, disons, colorée, Marianna m’avait emmené dans sa ville natale où nous devions retrouver ses amis de jeunesse. Ces derniers avaient loué un appartement à quelques pas du club où nous nous destinions et une chambre nous attendait. Une fois arrivés, Marianna me présenta à ses amis. Il y avait Andréanne, une magnifique petite brune qui était en couple avec Mathieu; Jessica, ravissante blonde, venue seule, mais amoureuse par-dessus la tête d’un type n’ayant pu nous honorer de sa présence; Silver, un DJ, apparemment la vedette du groupe et Claudine, une petite grassette plutôt vulgaire avec qui on ne s’ennuie pas. Elle avait pris la liberté de venir avec deux de ses complices de débauches, Marc et Alessandro.

Côté costume, les filles avaient opté pour des décolletés plus échancrés les uns que les autres, des jupettes et des bottes à talon. Divers accessoires leur permettaient de définir le personnage qu’elles avaient décidé d’incarner pour cette soirée d’Halloween. Marianna, elle, s’était déguisée en papillon sexy : talon haut, bas résille blancs, porte-jarretelles, mini-jupe rouge affriolante et top ultra sexy dévoilant son superbe ventre d’athlète et sa chute de reins découpée. Ses superbes seins de taille moyenne, comme je les aime, étaient magnifiquement mis en valeur… les amateurs de décolletés n’allaient pas s’ennuyer. Notons que sa jupe, qui ressemblait plus à un tutu, cachait à peine ses pommes de fesses rebondies. Bien entendu, je lui ai suggéré de retirer son mini string histoire que je puisse accédé à sa chatte quand je le désirais, mais elle refusa prétextant qu’elle ne se sentirait pas à l’aise. De mon côté, je dus endosser le rôle de chasseur de papillon et fus affublé d’un costume ridicule conjuguant celui d’un pêcheur à la mouche et d’un explorateur raté. C’était un peu la honte, mais bon. Les autres mecs s’en étaient mieux tirés et portaient des costumes évoquant les années disco mettant en valeur leurs jambes musclées de skieurs et leur « paquet », comme appelait une de mes ex le service trois pièces.



Une fois tout le monde accoutré de façon risible – ou impudique – la fête commença au condo où l’alcool coulait déjà à flots. Les filles dansaient ensemble et ne manquaient pas de tortiller des fesses pour exciter leurs copains. Bien entendu, tous les mecs présents, dont moi, en profitaient. Malgré notre entente d’entrevoir la possibilité de jouir de sexe récréatif, je ne connaissais pas encore les limites de Marianna ni si elle entretenait des fantasmes libertins.

Pour tout dire, je ne me sentais pas très à l’aise dès le début de cette soirée. Je ne connaissais personne et ma nouvelle conquête me délaissait afin de renouer avec ses amis de longue date. Elle m’avait dit sur la route qu’aucun des gars présents au condo n’avaient eu droit à ses faveurs. Je fus étonné vu qu’elle me confia quelques jours auparavant qu’elle ignorait avec combien d’hommes elle avait couché tant ils étaient nombreux. La ville où elle passa son enfance et son adolescence est une destination touristique bien connue qui voyait défiler plus de trois millions de visiteurs par année, principalement pour le ski. Elle avait le choix des lascars vu que les quelques bars de cette localité se remplissaient aisément de visiteurs étrangers et elle affectionnait particulièrement la discrétion que lui conférait l’anonymat afin d’éviter les ragots de village.

Il était enfin temps de se diriger vers le bar. Un des amis de ma douce nous avait réservé une zone dite « privée » et avait commandé du champagne. L’endroit était bondé. Il fut ardu de se frayer un chemin jusqu’à la petite table disposée sur une estrade faisant office de coin VIP. Une balustrade en bois façon western délimitait l’espace réservé où d’ordinaire, cinq personnes se seraient senties à leur aise. Nous étions au moins 20.

L’ambiance était festive et ses amis, très amicaux, me firent rapidement sentir le bienvenu. C’est là que je remarquai, accoudés au bar, cinq mecs ne portant qu’une serviette de bain blanche autour de la taille.
Leur audace ne manqua pas de me surprendre et je m’amusai à demander à celle qui deviendra ma femme quelques années plus tard si elle pouvait deviner ce qu’ils portaient sous leur serviette. « Surement rien », me lança-t-elle à peine étonnée. « Ça commence bien », me dis-je.

Plus ça allait, et plus j’observais les yeux des mecs présents dans le bar se poser sur ma douce. Il faut dire que la vue que leur offrait Marianne, restée sur le bord de l’estrade, avait de quoi inspirer plusieurs fantasmes.

« Je vais aux toilettes », me lança-t-elle.
« Ok, sois sage », répondis-je tout en lui faisant un clin d’œil.

Deux pas nous séparaient du haut de l’escalier qui amenait au sous-sol où l’on retrouvait les bureaux administratifs, la cuisine et les toilettes. À peine avait-elle quitté l’estrade qu’un des mecs en serviette se rua à sa suite. Pris d’un élan chevaleresque, je suivis ma douce histoire de la protéger au besoin. Je dus jouer du coude le plus discrètement possible afin de ne pas me faire repérer ni les perdre de vue. J’eus à peine le temps de les apercevoir parler à l’entrée des toilettes pour femmes avant de l’y voir disparaitre laissant en plan le queutard désenchanté à moitié à nu.

J’en profita pour aller pisser et faire un tour de reconnaissance des chiottes. Trois pissotières, deux cabinets privés et un lavabo permettraient aux centaines de clients de la soirée de se soulager la vessie. Seuls les deux cabinets privés, peu spacieux, offriraient peut-être à quelques veinards la chance de se vider les couilles.

À mon retour, Marianna n’était toujours pas revenue. Au bar, seulement trois mecs en serviette étaient visibles. Une bouffée de chaleur s’empara de mon estomac et je sentis le sang monter jusqu’au bout de mes oreilles.

« T’es tout rouge, ça va », me demanda-t-elle en surgissant sur l’estrade ?
« Oui, ça va, merci, ma belle », rétorquais-je, soulagé.
« Devine quoi, un des mecs en serviette m’a suivie jusqu’aux toilettes », me confia-t-elle sans gêne.

« Qu’est-ce qu’il voulait », lui demandais-je, tout en connaissant très bien la réponse.
« Il voulait voir si je pouvais deviner ce qu’il portait sous sa serviette. Quel gros con! Si j’avais deviné juste, j’aurais eu l’immense honneur de le sucer. Non, mais franchement, j’ai connu mieux comme approche. »
« Effectivement, pas très subtil… Mais tu n’avais pas envie de deviner », me risquais-je?
« Et toi, te connaissant, tu aurais aimé que je devine juste, n’est-ce pas ? Tu me demandes de sucer ce mec, mon cochon ? »
« Je ne veux pas te forcer à faire quoi que ce soit, mon amour (c’était la première fois que je l’appeler ainsi, conférant à cet instant un caractère particulier). Mais si l’envie te vient de prendre son sexe, je voudrais que tu laisses libre cours à tes pulsions. Tout ce que je demande, c’est une transparence totale. Je veux tout savoir. Aucune cachotterie. »
« C’est évident que je ne te cacherai rien, mon ange », répondit-elle, bien que rien n’était si évident étant donné que nous en étions à nos débuts. « Par contre, je refuse que tu sois jaloux. Si je fais ce que tu suggères, ce sera du sexe et rien d’autre. Tu crois pouvoir supporter ? »

She called my bluff, comme disent les anglais.
« Et il t’a dit où il voulait t’emmener ? »
« Non. J’imagine qu’il m’aurait entrainée dans un des cabinets. Il n’est pas du style gêné et aurait été fier comme un coq de faire son entrée dans ce sanctuaire réservé aux dames, une proie à la main. »
« Je vois… »

Nous fîmes interrompus par un des fêtards que nous avions délaissés, car le temps était venu de prendre des shooters. Je savais l’effet que l’alcool fort avait sur ma coquine. Nous n’en étions pas à notre première soirée arrosée. Un soir, alors qu’elle tenait à peine debout suite à une de ces fameuses veillées, je lui sortis un godemichet d’une taille conséquente et elle se l’enfila dans le cul sans autre forme de procès. Elle ne s’était même pas préparée! Elle le fit disparaitre entre ses superbes fesses avant de me demander de la baiser avec force tout en enfonçant plus profondément le gode de 25 cm entre ses reins.


Bref, les shooters d’alcool (du whiskey je crois) se succédaient et nos esprits se mirent à s’embrumer peu à peu. On se sentait invincibles. Nous jouissions encore de l’insouciance de la vingtaine. Je m’amusai à regarder discrètement dans la foule afin de cerner le nombre d’hommes qui avaient les yeux rivés sur ma copine. Beaucoup d’entre eux détournaient rapidement du regard en s’apercevant de mon manège. Mais pas tous. Les mecs en serviette, encore eux, regardaient avec insistance les fesses de ma douce. Il faut dire qu’étant plus haute, il leur était plus aisé d’apercevoir la naissance des fesses de ma cavalière. J’eus alors le reflex de glisser ma main sous sa jupe afin de vérifier qu’elle portait toujours son string.
« Hé! Ça va pas la tête ? », s’offusqua-t-elle.
« Relax, personne ne m’a vu. Je voulais seulement vérifier que tu avais toujours ta petite culotte. »
« Tu aimerais peut-être que j’aille la retirer, mon coquin ? »
« Oui, sur le champ. Descend aux toilettes et rapporte-la moi stp. »
Elle me regarda d’un air empreint de défiance tout en souriant et se dirigea à nouveau vers l’escalier. Ça n’a pas raté, l’autre queutard s’est à nouveau élancé à la poursuite de ma coquine, qui était peut-être sur le point de faire la salope par ma faute.

D’autres shooters arrivèrent et je dus faire semblant de les boire afin de garder la tête froide. Je ne sais pas comment les amis de Marianna parvenaient à tenir si bien l’alcool. J’hésitais à descendre pour tenter de percer cet éprouvant mystère, mais je me retins car je tenais à ce qu’elle se sente libre et appuyée dans ses débuts libertins. Après plus de dix minutes d’attente insoutenable, elle réapparue enfin et me glissa dans la main son string humide. Elle plongea son regard dans le mien, entrouvrit les lèvres et dévoila une bouche pleine de sperme. Elle se rapprocha et m’embrassa à pleine bouche afin de partager le foutre de son – ou ses, à voir la quantité – amants inconnus. Choqué, je lui rendis son baiser en espérant qu’elle avalerait la semence qui emplissait désormais ma bouche. C’était la première fois que je goutais à du sperme et je dois avouer que je m’attendais à pire.

Une fois le nectar consommé par notre étreinte buccale, elle me fit un clin d’œil et me demanda si j’allais bien.

« Oui, je ne m’attendais pas à ça, mais ça va. Merci. Maintenant raconte stp. »
« Le mec de tout à l’heure m’a de nouveau accostée et cette fois-ci, c’est moi qui fus entreprenante. Je l’ai pris par la main et l’ai entrainé dans une des toilettes avant de lui retirer sa serviette. Je n’ai même pas pris le temps de fermer la porte et des filles nous regardaient, certaines avaient l’air choquées. Tu parles d’hypocrites! Il n’y avait rien sous sa serviette, j’avais donc gagné mon pari. Je l’ai pris en bouche et il a fermé la porte. Sa queue a grossi sur ma langue et je me suis appliquée afin de le faire venir rapidement. Il ne débandait pas, mais il ne venait pas non plus. Il m’a relevée, m’a tournée et m’a penchée en avant de façon à pouvoir me prendre. Mon string l’a gêné et m’a laissé le temps d’esquiver sa charge. Je me suis retournée et me suis mise à genou pour le reprendre en bouche, lui faisant comprendre qu’il n’aurait que ça de moi ce soir. Il a attrapé ma tête et a commencé à me baiser littéralement la bouche en tentant d’atteindre ma gorge. Sa queue n’était pas aussi longue que la tienne et je n’eus aucun problème à encaisser les coups. Quelques minutes de ce traitement ont suffi à le faire jouir. J’ai alors gardé le plus de crème possible en bouche, j’ai enlevé mon string devant lui et je l’ai laissé en plan, entièrement nu au milieu des toilettes pour filles, avant de venir te rejoindre sous son regard ahuri. »

Quel récit! Je n’en revenais pas. J’eus une érection fulgurante et la vague de chaleur qui m’avait assailli plus tôt me submergea de nouveau.

« Tu es content de moi », me demanda-t-elle en se lovant sur moi ?
« T.t.t.t’as été superbe, ma belle », répondis-je ébahi, tout en lui glissant sans mal un doigt dans sa chatte trempée.
« Coquin ! Arrête, sinon je vais me mettre à faire la salope. »
« Ah parce que là tu joues à la none », lui demandais-je ?

À suivre…


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